La distribution et les services sont des activités de plus en plus capitalistiques.
Il est illusoire pour un candidat franchiseur de rêver d’autofinancement car il y des investissements initiaux à consentir, comme dans tout projet d’entreprise, et un effort financier à soutenir dans la durée, le budget de communication de recrutement des franchisés.
Il y donc lieu de prévoir les financements nécessaires dès le départ.
Sachant que les fonds d’investissement n’ont pas vocation à financer les start-up mais à accompagner le développement de concepts ayant déjà fait leurs preuves, les capitaux propres, capitaux personnels et « love money », capitaux apportés par la famille, les amis et les relations, devront couvrir une grande partie des besoins de financements de départ.
Ces capitaux propres pourront être complétés par des emprunts bancaires dans le cas d’un excellent dossier et des fonds d’éventuels capitaux-risqueurs.